4.11.06

À la une, à la deux, à la trois...

Foin de tergiversations, une libellule m’ayant convaincu à moitié et mon hémisphère cérébral (droite ou gauche ? je ne sais jamais celui qui commande la raison et celui qui commande la bite) s’étant chargé du reste, je me décide
à écrire un belogue. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, présumé-je alors, et si la mode semble avoir imposé cet exercice de style à chaque mortel disposant d’un accès à Internet, il n’y a pas non plus de raison particulière pour snober ce qui n’engage à rien qu’à un peu d’impudeur, de complaisance et tout ce qui s’ensuit de mise en danger. « Buaidh no bas », s’exclamaient quelques joyeux barbares il y a bien longtemps : c’est désormais un cri tatoué sur la poitrine d’un piètre rejeton qui n’ose plus le hurler, produit typique de ce beau pays si libre où chacun est prié de fermer sa gueule. N’en parlons donc plus !

2 commentaires:

Dragonfly a dit…

Welcome in the blogosphère

Anonyme a dit…

Ben oui Georgina, welcome !